Actualités

  • Déc 2015

    30/12/2015

    La lettre recommandée permet de disposer d'une preuve fiable de la date d'un envoi postal et, lorsqu'un accusé de réception est demandé, de la date de sa réception, de même que de l'identité de la personne en accusant réception. De nombreux textes de loi prescrivent également que certaines formalités soient réalisées par lettre recommandée. Depuis 2005, le format électronique est possible.
  • Nov 2015

    17/11/2015

    Nous profitons de cette rubrique pour dresser ce mois-ci un bilan des dernières jurisprudences en matière de contrats informatiques et technologiques. Si des problématiques classiques liées aux responsabilités respectives du prestataire et du client et à la preuve des dysfonctionnements sont bien sûr toujours portées devant les juges, on relèvera que le contentieux lié aux contrats de financement de solutions techniques est de plus en plus nourri.
  • Oct 2015

    Interview de Stéphanie Foulgoc le 15 octobre 2015 sur BFM Business.

  • Oct 2015

    12/10/2015

    Du jour au lendemain, on découvre maintenant que bon nombre des données personnelles des Européens envoyées sur le territoire américain n’auraient jamais dû y aller… En effet, par sa décision du 6 octobre 2015, déjà largement commentée dans la grande presse, la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) vient d’invalider le régime juridique dit du « Safe Harbor » (« sphère de confiance » en Français).
  • Sep 2015

    14/09/2015

    Le remplacement du document papier par le document électronique recèle beaucoup plus de complexités qu’on ne pourrait le penser. La facture en est une bonne illustration.
  • Juin 2015

    17/06/2015

    La signature électronique a été introduite en droit français par une loi du 13 mars 2000, il y a plus de 15 ans donc. Le bilan de ces 15 années d’existence légale est assez simple et rapide à dresser. Alors que les législateurs, français et européen, avaient envisagé la signature électronique comme une technologie indispensable au développement du commerce en ligne, il n’en a rien été. En 15 ans, le e-commerce a acquis un poids économique considérable sans recourir à la signature électronique pour la passation des transactions en ligne. Lorsque vous achetez en ligne, vous cliquez pour accepter mais jamais, ou alors quasiment jamais, vous ne signez pour accepter. Il n’y a que dans les marchés publics électroniques, là où une autorité administrative a le pouvoir d’imposer une technologie, que la signature électronique s’est répandue.
  • Mar 2015

    Interview d’Etienne Papin, avocat associé, dans l’émission « On n’est pas des pigeons » du 16 mars 2015 sur France 4.

  • Mar 2015

    13/03/2015

    La rapidité avec laquelle les nouvelles technologies et les nouveaux services informatiques arrivent sur le marché ne cesse de fasciner. Les services de « Cloud Computing », dont les promesses tiennent à leur grande flexibilité, sont déjà devenus nombreux et complexes. Face à la complexité technique et commerciale d’un marché quel qu’il soit, le besoin d’intermédiation nait naturellement. Qu’ils s’agissent de PaaS, d’Iaas ou de Saas, l’entreprise acheteuse de services « Cloud » dispose maintenant d’un nouvel interlocuteur : le « Cloud Broker ».
  • Jan 2015

    20/01/2015

    Le piratage informatique a été au cœur de l’actualité de ces derniers mois. L’occasion nous est donc donnée de faire un état des lieux des risques juridiques qu’un piratage fait peser sur l’entreprise.
  • Déc 2014

    16/12/2014

    La complexité contractuelle va croissante dans le monde des services informatiques. Le développement du cloud computing s’accompagne d’un discours marketing qui met en avant la flexibilité et, corrélativement, un modèle économique basé sur le  « pay-as-you-go ». La simplicité semble être le maître mot des offres de services « Cloud ». On est dès alors surpris par l’incroyable complexité contractuelle qui entoure la fourniture de ces services. A mesure que l’informatique se « virtualise », l’environnement contractuel se densifie…